Si vous voyiez, Messieurs, le vit de mon amant
Vous iriez épanchant par tous vos orifices
Une mouille profuse, émolliente cyprine
Propre à lubrifier par son intime onction
Les lieux de vos désirs. Car sachez-le sa pine
Lorsqu'elle est en repos atteint la proportion,
Alléchante à mon goût, d'une belle aubergine.
C'est assez suggérer du zob qu'avec délices
Il inflige à mon fion le calibre charmant.
mardi 2 décembre 2008
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Et moi, et moi, et moi!

- atabeur
- Paris, Ile-de-France, France
- Aède érotomane, mélancolique et blagueur.
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